Une invitée de taille 6

Mon Maître, il faut le savoir est un obsédé « des petits trous ». Je suis presque étonnée qu’il est attendu aussi longtemps pour s’en occuper à nouveau de ce petit orifice qu’il affectionne tout particulièrement.
Je n’ai évidemment aucun mal à imaginer quel usage il va faire de ces deux cierges au diamètre non négligeable. Il s’est positionné derrière nous, soumises étendues, deux plats de résistance, offertes à ses pervers caprices.
Il commence par cracher sur mon anus, puis celui d’Alice. Innocente que je suis-je n’ai aucune appréhension et attend avec impatience de sentir pénétrer cette bougie qui ravira mon anus.
Maître François prend plaisir à masser nos orifices anaux, deux culs pour le prix d’un, la bonne affaire. Je suis certaine qu’il bande déjà. Pour dilater l’entrée de nos entrailles, il fait pénétrer un doigt, je me surprends à penser : « seulement ». Après quelques va et vient plus ou moins rapides et appuyés, je ne sens plus rien, il a retiré ses doigts, sans doute pour se saisir d’une de ces bougies. Mon intuition est la bonne, je sens le contact froid de l’objet destiné à être introduit dans mon cul se poser et masser l’étroit passage qui devra céder sous la pression. Ces multiples caresses m’excitent grandement, et c’est avec un immense plaisir que je sens enfin la bougie entrer en moi. Mon maître me baise par bougie interposée, et à chaque fois je sens que la poussée se fait plus profonde. Je m’aperçois qu’Alice me regarde d’un œil amusé devant le plaisir certain que je prends à subir cette sodomie. Je suis un peu gênée, mais décide de m’abandonner à ces délicieuses sensations, quand après une dernière poussée, la bougie s’immobilise. Du coin de l’œil je le vois poser une main ferme sur la fesse de ma voisine, qui a tout juste frémis quand elle a senti la bougie la pénétrer. Elle me regarde impassible pendant que le maître de cérémonie lui défonce son orifice anal. A nouveau il s’arrête, il aime bien nous faire attendre… Je l’entends fouiller, que cherche-t-il ?
Il revient, je perçois alors un bruit qui ne m’est pas inconnu, un briquet !... Je suis alors prise de panique, un grand froid envahi mon corps, ce type est dingue, il ne va quand même pas allumer la mèche, alors que la bougie est enfoncée dans mon cul. Tétanisée, je regarde Alice, elle me regarde, impassible l’air de dire ça va aller, je suis là avec toi. Pas sûre que ça me rassure.
Je sens la chaleur de la flamme tout près de mon cul, j’ai envie de fuir, Je sens mes jambes trembler, je cherche du réconfort dans le regard d’Alice qui m’envoie un sourire, « courage ma grande, tu vas y arriver » semble-t-elle encore me dire. Je ferme les yeux un instant et respire profondément ; ne pas paniquer, abandonner mon corps à ce qui va se produire et l’accepter. Je me répète cette phrase comme un mantra. Mon esprit embrouillé, n’a pas entendu qu’il avait aussi allumé le cierge d’Alice. Mais de quel bois est faite cette fille qui semble si paisible, alors que nous avons littéralement le feu au cul. Nous voilà devenues les candélabres de Maître François.

C’est brutal, violent, insupportable… les premières gouttes de cire viennent de couler sur ma chatte, les larmes me montent aux yeux, ne pas craquer, pas maintenant. Puis d’autres viennent couler brulantes, insupportablement brulantes. Alice a elle aussi les larmes aux yeux, elle sert les dents, son visage est tendu, ses pupilles dilatées par la douleur. J’essaie de me détendre, mais chaque nouvelle goutte est une véritable torture. Je ne peux m’empêcher de laisser échapper quelques plaintes. En même temps je sens la flamme qui se rapproche dangereusement de mon anus… Il ne va quand même pas aller jusque-là, non, je dois avoir confiance, il était clair dans notre contrat qu’il n’y aurait aucune atteinte à notre intégrité physique… Au bout d’un moment qui me semble une éternité, je sens le souffle de maître François, je me relâche, j’ai envie de pleurer, mais retiens mes larmes. C’est à peine si je perçois quand il me retire la bougie, quand il vient méthodiquement retirer la cire refroidie coller sur ma vulve endolorie, je ne saurais même pas dire si c’est douloureux, je suis comme anesthésiée.

Un moment de répit, il doit s’occuper d’Alice, je ferme les yeux. J’ai l’étrange sensation d’être incapable de rendre mes pensées cohérentes, c’est le chaos, le néant dans ma tête. Mais il y a ce petit quelque chose que je ne m’explique pas, une excitation sourde au creux de mon ventre, mais est-ce que tout s’explique ? La douleur de la brûlure a réveillé quelque chose en moi, ou a réveillé un moi que je ne connais pas. Un moi tout autre, moins effacé, moins timoré et ce moi semble habité d’une rage qui m’est étrangère et pourtant elle est bien là…

Maître François, silencieux jusque-là, prend la parole, et sa voix me parvient lointaine.
- …. Enculer … vos culs … chienne….
Je pense en avoir compris l’essentiel.

La sensation de ses mains sur mes hanches est irréelle, sa verge qui pénètre mon cul, une douce caresse qui m’apaise, et puis il se retire, j’ai froid. Il doit être maintenant en train d’enculer ma voisine dont je vois le corps bouger, comme secouée. Et puis de nouveau ses mains sur mes hanches, sa queue qui entre en moi, de façon plus vigoureuse, et c’est là que je bascule. J’ai maintenant envie qu’il m’encule avec force. Je me mets sur la pointe des pieds, je me cambre. Je tends mon cul, avide de sentir sa bite s’enfoncer moi.
- Mais regardez-moi cette salope, c’est qu’elle en redemande.
Il ponctue sa phrase en abattant sa main sur mon cul. La rage est bien là maintenant, je sors de ma torpeur, une rage de jouir de cette queue dans mes entrailles, sentir sa bite me défoncer, je tends mon cul comme une bonne chienne. Il continue de me fesser à intervalles réguliers, et je me surprends à aimer ça. Je suis la salope qu’il voulait, je grogne sous chaque coup de reins, je mouille. Ces couilles viennent frapper ma chatte endolorie et j’en redemande.
- Tu aimes sa salope ?
- Ouiii !!
Il claque encore plus fort mes fesses.
- Dis-moi que tu aimes que je t’encule et que tu es ma pute ?
- Oui ! J’aime quand vous m’enculez et je suis votre pure Maître François.
J’ai à peine fini ma phrase qu’il se retire pour aller fourrer sa bite dans le cul d’Alice. Mais nooon ! Pas maintenant…
Il secoue la frêle jeune fille comme un prunier, claque ses fesses, la belle semble apprécier cette vigoureuse sodomie, en fait je ne saurais pas trop dire.
Il finit par revenir à la charge, chaque coup de reins est une bénédiction, et chaque nouvel abandon une malédiction. Je veux sentir sa bite me défoncer le cul, me pénétrer au plus profond, frapper encore ses couilles dégoulinante de mon jus. Le plaisir bouillonne dans mon ventre, je sens l’orgasme qui pointe le bout de son nez mais disparait après chaque nouvel abandon. C’en est presque insupportable. J’halète, je grogne, je tends mon cul, je suis comme possédée.
Sans prévenir, me laissant sur ma faim, il fait le tour de la table pour nous détacher. Toutes courbaturées, les membres endoloris par notre position devenue inconfortable, nous nous redressons tant bien que mal.
- A genoux, salopes !
Nous nous agenouillons, il approche sa queue gonflée de sperme de nos visages, nous demandes d’ouvrir nos bouches et de sortir nos langues de chiennes.
Il se branle au-dessus de nos têtes et rapidement nous gicle dessus, son foutre nous souille le visage, coule sur nos langues. Son feu d’artifice terminé, il nous enjoint à venir lui nettoyer la queue, Nous nous jetons dessus comme deux chiennes en chaleur. Deux bêtes assoiffées de sperme.
- Et pour finir, mes sales putes vont se lécher le visage, nettoyez moi tout se foutre, et pour vous récompenser, car je suis très fier de vous, vous allez pouvoir vous donner du plaisir.
Published by RoseMaryass
1 month ago
Comments
7
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nomy28
énorme .....
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hellyeeeeah
Qui ne serait pas obsédé de ton petit trou, l'étoile du sapin au sommet de ton cul divin, sa chaleur, son étroitesse, on a envie de le prendre sans fin, parfois avec douceur s'y sentir comme dans un écrin, parfois avec brutalité et le réprimander, le sentir, le gouter comme le ferait un gourmet avant de l'assaisonner 
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ccandau
une soumission sans failles avec Alice tu fais un duo divin à fourrer avec plaisir
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IDAELE
Qu'il finisse avec une canne blanche tellement on va l'eblouir 
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RoseMaryass
Le mâle Alpha va en prendre plein les mirettes
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torpilleur
Tu va finir par me rendre complètement fou, complètement raide dingue,  je sens que j adore déjà la septième partie , j en salive déjà. 
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IDAELE
hmmm dites donc Chérie , on va pouvoir s'en donner à corps joie dans le prochain épisode , les deux louves vont se dévorer devant le mâle Alpha 
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