Mamie germaine

Un éclair zébra le ciel éclairant la chambre comme en plein jour, un claquement
assourdissant le suivit presque instantanément.
- Il n'est pas tombé loin celui-là ! Germaine et Julien, confortablement assis
contre d'épais coussins, se sont mis très tôt au lit ce soir-là. Après avoir
couché leur petit-fils Hervé qu'ils gardent pour le week-end, ils avaient été
pressés de suivre leurs rituels quotidiens et auxquels rien ni personne
n'aurait pu leur faire oublier. Avec le mauvais temps, ils avaient juste
écourté leur bref passage devant la télé et s'étaient plongés impatients sous
la couette chaude, leurs vieux cœurs un peu chavirés. Germaine et Julien sont
maintenant à la retraite. Ce repos bien mérité et bienvenu leur permet de vivre
à leur rythme tout ce qu'ils n'ont pu faire avant. Comme souvent avec les vieux
couples, Germaine 67 ans et Julien 69 ne s'embarrassent plus avec l'inutile ou
le futile et se sont mis d'accord pour vivre sans contrainte leurs goûts et
penchants jusqu'à ce que la santé ne leur permette plus. Ils ont une fille de
42 ans, Francine, divorcée, et deux petits-enfants : Nadine 12 ans, et Hervé 14
ans qui dort en ce moment dans la chambre à côté.
- Tu as le livre ? demanda Germaine à son mari, douillettement vautré dans les
coussins de plumes. Il se pencha sur le côté du lit et rassura aussitôt sa
femme.
- Tu me connais, je ne risque pas de l'oublier ! Elle le regarda du coin de
l'Å“il, complice :
- Toi, tu es vraiment un salaud de gros cochon ! C'était l'heure de ce fameux
rituel. Faire des galipettes et autres positions lassantes et scabreuses ne les
intéressait plus maintenant qu'ils avaient un certain âge. Se tenir sur les
avant-bras en se concentrant des minutes interminables jusqu'à la secousse
attendue fatiguait et ennuyait Julien. Pour sa femme également qui attendait
sans vraiment avoir d'orgasme, si ce n'est en se masturbant en même temps que
son mari la besognait non sans mal. Maintenant, et comme ils aimaient se le
répéter en rigolant, ils étaient retombés en enfance et s'adonnaient sans
compter à la masturbation. Chacun de son côté, le plus souvent ensemble, mais
parfois seuls, ils se faisaient jouir comme des collégiens puceaux. Ils
adoraient se regarder mutuellement. Voir les mains plus très jeunes de l'autre
s'activer, lui sur son gros membre tendu, elle dans une chatte à forte
pilosité, les excitait terriblement. Mais tout leur semblait bon pour se
stimuler et jouir le plus fort possible en prenant le temps qu'il fallait.
Ce soir, ils avaient décidé de se faire jouir sur un livre qu'ils avaient
acheté dans un magasin spécialisé lors de leur dernier passage à Paris : « Les
vilains grands-parents » Ils avaient hâte de se glisser dans la peau de ces «
vilains » personnages. Julien avait déjà empoigné sa queue engorgée et, tout en
s'amusant à se décalotter le gland, regardait sa femme sortir ses jouets de sa
table de nuit.
- Putain, j'ai déjà envie de juter ! Souffla-t-il excité à l'adresse de
Germaine. Celle-ci avait finalement choisi un vibro de moyenne taille et se
l'enfonçait, le bassin relevé, entre ses grosses fesses.
- Attends moi, gros vicieux, fit-elle malicieuse, te branle pas trop vite…
Voilà, c'est rentré dans mon petit trou… OUH !… Si tu savais comme c'est bon,
tu devrais faire pareil !… Julien la regardait avidement choisir enfin une bite
noire en plastique, stupéfiant de réalisme. Elle l'actionna, choisit une douce
vibration, et tout en la plaquant entre ses grosses lèvres luisantes de mouille
contre son bouton bandé, elle s'empara du livre de sa main libre. Un autre
éclair illumina soudain la pièce et Germaine rentra aussitôt la tête dans les
épaules, attendant la déflagration qui suivit presque immédiatement.
- L'orage va finir par réveiller le petit, fit-elle en frissonnant.
- Et bien il viendra nous rejoindre et on pourra jouer avec lui en lui montrant
le livre ? suggéra-t-il sur un ton se voulant ironique.
- Arrête gros vicieux, le pauvre petit chou… Tu crois qu'il se branle déjà à
son âge ?
- Bien sûr qu'il doit se tripoter… tous les enfants le font à cet âge, en
pensant à leur maman ou leur mamie…
- … Tu penses qu'il se branle en pensant à moi ? Germaine, sans s'en rendre
compte, avait commencé à frictionner son bouton dans le doux ronronnement de
son engin, excitée qu'elle était par le petit dialogue i****tueux.
- Tu as vu les mamelles que tu as et ton gros derrière ! C'est évident qu'il se
frictionne comme un petit cochon en pensant à toutes ces bonnes choses… Et toi,
tu penses quelquefois à son petit kiki bien dressé ?… Quand tu te branles… ?
Germaine avait les joues en feu par les questions de son mari. Bien sûr que
souvent, dans ses fantasmes délirants, elle imaginait son petit-fils s'exciter
sur son corps dodu, s'activer entre ses grosses cuisses un peu molles ou sa
petite tête plongée dans les épais poils bouclés allant depuis son nombril
jusqu'entre ses grosses fesses.
- C'est vrai que cela m'arrive, avoua-t-elle, je me sens très coupable dans ces
moments, mais je suis tellement excitée… Et toi, cela t'arrive aussi de penser
à Nadine… ses petites mains sur ton gros gland te faisant juter jusqu'au
plafond ou sur sa petite frimousse… ?
- Arrêtes, tu vas me faire gicler si tu continues, Oh oui j'y pense… ses
petites mains me branlent, je gicle dans sa petite bouche… Je pense aussi à
Hervé…
- Quel gros salaud tu fais, interrompit Germaine, le visage empourpré… Il te
suçait ?
- Oui, lui répondit-il haletant, j'ai même pensé à Francine avec ses deux
enfants… Le cœur de Germaine faillit repartir en arrière.
- Tu es vraiment un gros pervers… Ta propre fille !
- On était tous ensemble, et avec la complicité de notre fille, on profitait
des enfants…
- J'ai tellement envi de jouir, si on regardait les cochonneries dans le livre
?… Soudainement, il n'y eut quasiment pas d'intervalles entre la foudre et le
claquement. Les murs tremblèrent, Germaine et Julien retinrent leur respiration
le temps que la maison retrouve son équilibre. A peine furent-ils plongés dans
la première page qu'un cognement se fit entendre contre la porte. Germaine
referma vivement le livre et regarda son mari.
- Entre mon chéri !… Entre ! Hervé avait beau avoir 14 ans, c'était toujours
son chéri.
- Je peux venir un moment avec vous, j'ai un peu peur, dit-il en guise d'excuse
à les déranger.
- Mon pauvre chou, viens entre nous bien au chaud… on va attendre que l'orage
s'arrête. Germaine avait poussé au fond du lit son vibro noir, mais l'autre
était toujours fiché entre ses fesses.
- Viens contre moi mon chéri, pose ta tête sur ta mamie… voilà, comme ça… Elle
caressa la tête de son petit-fils et tout en peignant les doux cheveux blonds
de ses doigts elle jetait des coups d'œil sur la couette qui bougeait du côté
de son mari qui continuait de se branler. Elle lui fit un sourire et continua
ses caresses sur son petit fils.
- Tu es bien auprès de ta mamie ?
- Oui mamie, il fait bon chaud dans ton lit !…
- Attends, tu es tout froid, je vais te réchauffer partout … Viens en travers
de ta mamie mon amour… Elle glissa une main sous la veste du pyjama et passa sa
main chaude sur le torse d'adolescent qui, sous la caresse, frissonna.
- Tu as si froid mon chéri !… La main de Germaine continua sa progression sur
le ventre encore imberbe tandis que de l'autre, elle caressa une jambe
par-dessus le pyjama. Par la fente, elle pouvait déjà observer la queue de son
petit-fils qui commençait à devenir plus épaisse. Elle sentit instantanément
des picotements dans son bas-ventre.
- Tu sens la bonne chaleur de ma main ?
- Oui mamie … C'est très bon… Mais je sens que…
- Je comprends, l'interrompit-elle, c'est normal à ton age… laisse-toi aller…
Elle parlait d’une voix rauque ; la bite d’Herve grossissait, se raidissait
complètement sous le fin tissu. Germaine sentit son cœur faire un bond dans sa
poitrine. Le gland d'où perlait déjà une goutte pontait maintenant à la limite
de la braguette. Hervé se sentait à la fois gêné et excité. Il commença à
remuer nerveusement.
- Voilà tout doux mon chéri… Laisse toi faire… La main i****tueuse était
maintenant sur la belle bite raidit.
- Hum tu bandes sous la main de ta mamie mon gros cochon ?… Tu n'as pas honte
petit vicieux ? Elle se pencha vers son mari
- Regarde chéri la belle queue de ton petit-fils… Il promet le salaud !… Il en
aura bientôt une grosse comme la tienne… Montres lui toi aussi!… Julien n'en
revenait pas de la perversion de sa femme. Elle devait être terriblement excité
pour se comporter de la sorte. Germaine empoignait maintenant la belle bite
d'Hervé qu'elle avait complètement sortie de la braguette. Il ne lui en fallut
pas plus pour en faire autant.
- Regarde mon garçon… Tu en auras aussi une comme ça plus tard… Tu vois comme
c'est gros ? Hervé, le visage empourpré, tourna la tête vers la gauche.
Son grand-père exhibait fièrement son membre démesuré et si engorgé qu'il en
était violacé.
- Tu vois comme c'est gros ? fit Julien d'une voix chevrotante, regarde bien ma
bite… Les deux adultes s'excitaient devant la réaction de leur petit-fils dont
ils sentaient le trouble. Ils employaient des mots crus dans l'évidente
intention de choquer le jeune garçon. Germaine ne se gênait plus pour branler
la belle verge bien tendue. Le gamin, malgré lui, allait au-devant de la
caresse en tendant son bassin vers l'avant. Sa grand-mère le masturbait comme
elle avait l'habitude avec son mari. De petits gestes souples et déliés faisant
appartement beaucoup de bien à l'ado qui se laissait déjà aller.
- C'est bon la branlette que mamie te fait mon chéri ?…
- OH, OH mamie… C'est… comme c'est bon !…
- Dis-moi mon amour, j'imagine que tu te branles tout seul dans ton lit ?
- …
- Tu peux dire à mamie si tu aimes te faire des branlettes en cachette… Tu
sais, ton papi se branle sa grosse bite aussi tout seul… Il n'y a pas de mal à
faire ça… Et tu as déjà beaucoup de jus ? Elle accéléra le mouvement sur la
queue congestionnée. Dans un état second, le gamin se livra.
- Oui mamie…
- Oui quoi ?… Avoue à mamie que tu te fais des branlettes…
- … Oui c'est vrai, je me branle…
- Comme c'est mignon et… tu aimes juter ? Le grand-père s’était collé contre
son petit fils. Il écoutait cette conversation perverse en s'astiquant
furieusement.
- Je te sens vibrer mon chéri, tu vas bientôt te laisser aller dans la main de
mamie… Regarde ton grand-père, il va jouir aussi… Fais lui un bisous sur son
gros gland… Ca va lui faire beaucoup de bien !
- Mais je … Je n'ai…
- Tu ne l'as jamais fais ? C'est pourtant délicieux !… Regarde, mamie va te le
faire aussi sur le tien… Prends la bite de ton grand-père dans les mains et
suces le bout… Un peu à contrecœur mais tellement excité par l'ambiance, le
gamin se pencha sur la grosse bite que son grand-père tendait vers lui.
Guidé par l'adulte, il empoigna des deux mains le membre distendu. Julien
dirigea ses lèvres vers le gros gland prêt à exploser.
- Vas-y, suces mon chéri… Suces papi, tu vas me faire gicler très fort… Promène
ta langue sur le bout… Germaine, en même temps, branlait par-dessous son
petit-fils à genoux devant son mari. Elle sentit que le gamin ne pourrait plus
se retenir.
- Allez-y les garçons… Je crois que vous allez bientôt vider vos couilles !…
Julien regardait avec des yeux exorbités la bouche de son petit-fils autour de
son gros gland. Tellement excité, il savait qu'il ne pourrait durer bien
longtemps avant de lui lacher son jus trop longuement contenu dans ses couilles
douloureuses. Hervé, au bord de l'explosion tellement sa grand-mère lui
astiquait la bite, se concentrait pour sucer son grand-père au mieux. Le sang
lui tapait dans les tempes. Il fut surpris et inquiet lorsqu'il sentit que sa
grand-mère lui écartait les fesses.
- Tu vas aimer mon chéri, lui souffla t-elle d'une voix blanche. Il ouvra en
grand les yeux quand il sentit un doigt pointer contre son petit trou. Quand il
se branlait, il avait l'habitude de s'enfoncer lui-même un doigt pour accentuer
son plaisir, mais là c'était le doigt de sa grand-mère et cela l'excitait comme
un fou. Qu'elle salope ! se dit-il, elle va me faire vite gicler !
- Fais tourner ta langue sur le gland, lui fit son grand-père d'une voix
rauque, je vais venir !… Oui, comme… Comme ça ! Suce… lèche bien ma salope !…
Il ne pu se retenir plus longtemps et envoya dans la bouche du gamin
d’abondantes giclées de foutre.
- Je jute, râlait-il, je jute fort !… Hervé, surpris par la v******e des jets,
releva sa tête et reçu quelques giclées sur le visage. Ce fut trop pour lui qui
se mit à gicler lui aussi dans la main de sa grand-mère déchaînée qui
continuait de le branler, son doigt faisant des allers-retours dans l'anus du
gamin. Germaine attendit que son petit-fils soit remis de ses émotions.
L'orage s'était calmé depuis un moment.
- Tu as bien juté petit salaud !
- Oh oui, c'était trop bon !
- Tu vas faire du bien à ta mamie maintenant, viens voir comment c'est fait une
femme… Germaine s'allongea et écarta ses grosses cuisses laiteuses. Elle guida
son petit-fils entre ses jambes pour qu'il puisse admirer son intimité.
- Tu vois, c'est le trou de la femme ici dans mes poils et en haut c'est mon
petit bouton d'amour que je branle aussi pour me faire jouir, tu vois bien ?…
Julien avait retrouvé de la vigueur et se branlait de nouveau en regardant la
scène. La perversité de sa femme l'excitait.
- Je vais t'apprendre à faire du bien à ta grand-mère mon chéri
bredouilla-elle, viens me sucer dans mes poils… Elle prit d'autorité la tête
d'Hervé entre ses mains et colla ses lèvres contre sa fente mouillée.
- Fais aller ta langue dans mon trou… voilà… Oh ! Comme c'est bon !… Plus haut
!… Reste sur mon bouton et tête comme un biberon… Oui, comme ça, tu es très
doué… Germaine ondulait sous le plaisir de sentir le souffle chaud de son
petit-fils et la douceur de sa langue. Elle maintenait la tête contre elle et
donnait de petits coups de bassin contre le jeune museau.
- Putain, tu me branle bien !… Ah, comme c'est bon de se faire téter par un
gamin !… Germaine délirait et se frottait de plus en plus vite sur le visage
d'Hervé.
- Vas plus bas maintenant… Elle prit appuis sur ses jambes repliées et redressa
son bassin.
- Tu vas sucer mon cul mon chéri… Elle libéra la tête du gamin pour s'écarter
les fesses.
- Tu vois mon petit trou ?… Vas dessus… AH ! Tu vas me faire jouir mon
salaud !… Fais ta langue bien pointue, voilà, enfonce la… AAH, comme c'est bon
! Tu encules ta mamie !… Tu n'as pas honte ?… OUI ! Je vais jouir avec ta
langue dans mon cul ! A son tour elle fut emportée par un violent orgasme.
Elle mit longtemps avant de reprendre sa respiration alors qu’Hervé recueillait
sa mouille dans sa bouche. Julien continuait de caresser sa bite redevenue
molle tout en lui roulant un patin baveux. Germaine attendit que son petit-fils
soit remis de ses émotions. Elle se délectait de ses propres mots orduriers.
Qu'elle choque son petit-fils ne lui venait pas à l'esprit maintenant qu'elle
était dans un tel état d'excitation. Depuis le temps ou elle se branlait en
pensant à lui, à sa belle bite d'ado bien raide, à ses fesses musclées, à son
visage d'ange. Elle avait tellement rêvé de lui entre ses cuisses grasses et
celluliteuses, son visage enfouit entre ses mamelles aux gros bouts érigés et
aux larges aréoles foncées. Dans ses phantasmes les plus honteux elle
l'imaginait lui léchant les aisselles, se délectant de l'effluve piquant que
l'endroit brûlant dégageait. A la montée de l'orgasme elle s'était même vu
penchée sur la baignoire se lavant les cheveux, son petit-fils écartant ses
grosses fesses tremblante et la langue i****tueuse glissant dans son Å“illet
poilu et odorant. Dans ces moments-là, sa jouissance était violente et elle
couinait comme le ferait une truie. Ce soir, elle le vivait vraiment. Son
petit-fils entre ses fesses, elle le guidait pour rendre ses fantasmes réels.
- Nettoie bien mon petit trou, lui criait-elle, il est pour toi !… lave moi le
cul !… Son mari à côté s'astiquait comme un fou. Elle s'adressa à lui.
- Fais-le bien dur, j'ai envie de lui dans ma chatte et mon cul !… Tripote-le
ce vicieux pour qu'il bande bien ! Continuant de se branler de la main gauche,
il s'empara de la tige déjà dressée sous le ventre du gamin et le manipula avec
un incomparable plaisir. C'était la première fois qu'il tenait une autre bite
de garçon entre ses doigts et ce contact faillit le faire gicler sur le champ.
- Baise mamie mon chéri, fourres moi comme un homme !… Le cœur battant dans les
tempes, Hervé colla son bassin contre celui de sa grand-mère. Le contact de son
gland contre les poils soyeux déclencha une onde électrique le long de son
échine qui manqua bien le faire éjaculer. Germaine plaqua ses mains sur les
jeunes fesses musclées et les poussa vers elle.
- Oh mon amour, tu me baise ! Ta bite dans ma chatte !… Qu'elle est dure !…
Bien dure pour ta mamie !… Elle sentit que cette jeune bite n'allait pas tarder
à se vider. Le manque d'expérience de son petit-fils l'ému.
- Attends pour juter mon garçon… Tu vas le faire dans mon cul, ta jeune queue
sera plus serrée… Il n'eut aucun mal à rentrer sa bite dans l'étroit conduit
lubrifié par la mouille coulant abondamment de la chatte surexcitée. Hervé, le
visage en feu et enhardi par l'ambiance érotique, regarda soudain sa
grand-mère.
- Mamie… J'ai envie de dire… Je… Je peux te dire des mots… Il hésita avant de
continuer.
- C'est des mots cochons… Mais c'est pour de faux, c'est juste… Elle comprit
vite le désir du gamin et son vieux cœur accéléra dans la poitrine.
- Bien… Bien sûr mon amour… Dis-moi tout ce qu'il te passe par la tête… Cela va
bien m'exciter… Elle l'aida.
- Dis-moi que tu m'encules, que… que tu aime mon gros cul !… Proche de
l'explosion, il se laissa aller.
- Oh oui mamie… J'encule ton gros cul !…
- Oui mon chéri, encore… encore ! Totalement libéré, transpirant, il s'activa
plus vite entre les grosses cuisses grasses et chaudes et continua.
- Oui !… Oh mamie… AH ! salope… Je t'encule le trou du cul !… Je t'en… Je… Je…
Germaine devina qu'Hervé n'allait plus tenir et se frictionna à une vitesse
folle son bouton pour se faire jouir. Dans un couinement de bête, le gamin
lâcha soudain son foutre dans les intestins de sa grand-mère qui se mit à jouir
aussi accompagnant ses cris à ceux de l'ado. Julien qui se branlait les yeux
rivés sur la croupe lisse d'Hervé, s'arrangea pour gicler sur les fesses du
garçon. Peu à peu le calme revint dans ce lit de débauche et c’est emmêlés tous
les trois qu’ils trouvèrent le sommeil.

Chapitre deux : Le matin Au milieu de la nuit alors qu’Hervé dormait encore ils
furent pris d’un nouvel accès de désir. Germaine et Julien se branlèrent comme
des fous en s’excitant sur les pages plus suggestives les unes que les autres
du livre qu’ils avaient ramené de leur dernier voyage à Paris. Mais au-delà de
cette troublante pornographie c’est encore bien plus cette baise avec leur
petit fils qui les avait excités. Quand Germaine s’était penchée pour emboucher
le pieu de son mari c’est à son petit fils qu’elle pensait. Il y avait
longtemps que cela ne leur était pas arrivé de se bouffer mutuellement au lieu
de s’astiquer face à face. Cette excitation nouvelle stimulait leurs libidos de
vieux pervers et chacun en baisant imaginait une partie carrée avec les deux
adolescents…partie carrée que Francine viendrait rejoindre pour compléter le
tableau i****tueux. Ils avaient fini par s’endormir à nouveau épuisés de
jouissance. L’orage avait filé au loin et une douce fraicheur avec succédée à
l’étouffante moiteur de la nuit orageuse. Le soleil du matin les réveilla.
Les feuilles des arbres étaient luisantes des gouttes de la pluie de la nuit et
les chants des oiseaux saluaient ce jour nouveau. Jour nouveau…nouveau
départ…c’est à tout cela que Germaine songeait en s’étirant dans le lit
conjugal. Après tout pourquoi pas se disait-elle. Ils avaient la chance
d’habiter une maison isolée dans la campagne. Les hautes charmilles qui
entouraient le parc les protégeaient des regards indiscrets. Et puis dans son
esprit il s’agissait avant tout de tenter sans brusquer…si Julien avait raison,
et il avait si souvent raison, la libido de Nadine comme celle d’Hervé ne
demandait qu’à s’épanouir. Il suffirait peut-être de la solliciter en douceur
pour qu’elle chemine elle aussi sur ces délicieux sentiers de jouissance.
Germaine s’étira à nouveau en écartant ses cuisses. Machinalement elle passa sa
main sur son pubis, heureuse de constater que sa toison était encore poisseuse
de sa mouille et du foutre de ses deux amants de la nuit. Elle se leva et se
dirigea vers la penderie alors que Julien se retournait dans le lit en
grommelant. Elle choisit une des blouses en coton imprimé quelle aimait porter
et elle l’enfila à même la peau puis elle se contempla dans la glace satisfaite
du résultat. C’était une blouse sans manche qui mettait en valeur ses épaules
rondes. Il suffisait qu’elle lève un bras pour qu’elle donne à contempler
l’abondante toison de son aisselle. Le décolleté en V venait mourir dans le
sillon mammaire et il ne faisait que mettre en valeur ses deux globes d’un
blanc laiteux. Ses tétons tendaient le tissu léger et on pouvait presque
deviner ses aréoles grumeleuses. Elle se recula un peu. La blouse courte
arrivait à mi hauteur de ses grosses cuisses et ce n’est pas par oubli qu’
elle omit de fermer le dernier bouton. Julien se réveillait doucement dans le
lit et contemplait les mimiques de son épouse. Il aimait voir comment la blouse
tendue mettait en valeur les grosses fesses de sa femme. Il se dit que
décidément c’était une vraie truie en chaleur. Il s’étira…déjà il bandait.
- putain grosse salope…tu me donnes la trique dès le matin. C’est dans
cette tenue que tu vas aller réveiller la gamine ?
- Hum…je crois que tu as tout compris. Allez vieux cochon…profite encore
d’Hervé…je suis sure qu’il en a autant envie que toi ! Moi je vais voir si
Nadine dors encore… Le silence régnait dans la maison. Elle s’engagea dans le
couloir qui conduit à la chambre où dormait Nadine. Elle poussa la porte sans
faire de bruit. La gamine dormait encore, la chaleur de la nuit l’avait amené à
repousser le drap sur son corps. Elle la contempla un moment, savourant les
formes potelées de sa petite- fille. Celle-ci était une brunette dodue comme
une caille. Malgré son jeune âge elle avait déjà des seins bien formés aux
larges aréoles brunes. Décidément elle tenait de sa grand-mère se dit Germaine.
Elle la contempla encore, sentant une onde de désir qui venait dans son ventre.
Son regard suivit le bras de la gamine, sa main glissée sous le drap était
manifestement posée sur son pubis. Germaine en était sure : cette petite
cochonne avait du s’endormir après s’être branlée. Le lit s’affaissa légèrement
quand elle s’assit dessus. Elle contempla encore ces formes désirables avant de
se pencher et de souffler sur le visage de Nadine pour la réveiller en douceur.
Ce vent léger ne tarda pas à produire son effet et la gamine cligna des yeux en
s’éveillant. Elle souri à sa grand-mère.
- Bonjour mamie
- Bonjour ma chérie…tu as bien dormi malgré l’orage ?
- Oh oui j’ai rien entendu, j’étais trop bien dans mon lit Son regard
descendit lentement dans l’ouverture de la blouse de sa mamie. Elle se cambra
légèrement en voyant ces gros nichons qui pendaient mais qui paraissaient si
doux. Cette réaction n’échappa pas à Germaine qui posa sa main sur le bras de
sa petite-fille.
- Tu veux te lever toute de suite ma chérie ?
- Oh non pas encore, je suis trop bien là
- Mamie aussi elle est bien là Germaine commença à caresser la gamine.
D'abord sur le bras qui était au dessus de la couette, dans le creux là ou
c'est très bon puis elle remonta lentement vers son épaule nue. En repoussant
légèrement la couette elle eut la confirmation de ce qu’elle pressentait :
Nadine dormait nue. La petite frissonna. Dans un soupir elle murmura :
- hum c’est c'est tellement bon tes petites caresses mamie, ça me
chatouille pareil que quand je le fait avec ma copine.
- C’est vrai ma chérie ? Tu sais mamie elle aime ça aussi Insensiblement
elle repoussa la couette un peu plus bas laissant apparaitre les petits seins
de la gamine. Elle ressenti un délicieux frisson en voyant les tétons érigés et
les aréoles brunes et grumeleuses. Elle sourit en voyant l’autre bras de Nadine
enfoui sous la couette, sa main posée sur son ventre. Germaine se pencha un peu
plus et posa sa main sur le bras enfoui de sa petite fille pour la caresser
doucement. Nadine répondit aussitôt à cette trouble tendresse par une caresse
sur l’épaule nue de sa grand-mère. Germaine se sentait encouragée…elle était
désormais totalement sure de la sensualité de la gamine. Elle fit glisser sa
main sur le bras de la gamine. Déjà elle repoussait la couette lentement sur
son ventre : elle savait ce qu’elle allait voir. Sa voix était déjà rauque.
Une lueur dans les yeux elle devina la main de la gosse posé sur son pubis.
- Dis donc ma chérie…qu’est ce que fait ta main là
- Ben c’est doux là mamie…c’est chaud… Germaine posa alors sa main sur
celle de sa petite fille. Celle-ci malgré son jeune âge était dotée d’une belle
toison sombre. « Elle tient vraiment de moi » pensa de nouveau Germaine.
- Et quand tu mets ta main là…ça te fait du bien ?
- Hum oui mamie…c’est tellement bon ! Tu trouves ça mal de se toucher toi
?
- Non…bien sur que non ! mamie te comprends tu sais. Elle aussi elle
aime se toucher. Et quand mamie te touche en même temps que toi…tu aimes aussi
?
- Hum oui mamie ! Déjà la vielle cochonne avait entrepris de caresser la
petite motte juteuse. Nadine ondulait en gémissant. L’odeur de mouille se fit
plus forte dans la chambre. Sans cesser de la caresser Germaine écarta ses
cuisses. Les pans de sa blouse ne cachaient rien de sa chatte poilue. Elle
porta son autre main à sa chatte et commença de lisser sa fente gluante de
mouille et de foutre.
- hum c’est bon…tu aimes ça hein petite cochonne…tu te branles bien avec
ta grand-mère
- Oh oui tu me fais bien couler…tu sens comme c’est mouillé…c’est encore
meilleur quand c’est toi qui me branle mamie
- Oh mais tu es une vraie petite garce toi ! Dis à mamie ça fait
longtemps que tu te fais ça ?
- Ben bientôt deux ans mamie…c’est avec ma copine Audrey qu’on a trouvé
ça.
- Hum…mais dis donc t’es une vraie goudou toi !
- Hum une goudou c’est quoi mamie ?
- Une petite gouine…une bouffeuse de chatte comme toi…et comme moi !
Nadine se cambra de plus belle quand elle sentit les doigts de sa grand-mère
qui écartait sa fente gluante
- Hum mamie…tes doigts c’est bon
- Salope tu mouilles hein quand je te branle
- Oh oui continue…toi aussi tu mouilles hein mamie
- Oh oui….tiens sens mes doigts Elle porta alors sa main aux lèvres de la
gamine…celle-ci savoura les jus d’amour que lui offrait sa grand-mère, mélange
de sa mouille et du foutre de ses amants de la nuit. Germaine finit de
déboutonner sa blouse pour venir s’allonger. Nadine repoussa la couette en bas
du lit pour mieux se coller contre le corps si caressant de sa grand-mère.
Elle se pelotonna contre elle puis vint tendre son minois vers le visage de
Germaine. Bientôt leurs bouches se soudaient. Se frottant l’une à l’autre comme
des furies leurs jambes se mêlaient, leurs langues se caressaient, leurs lèvres
bien vite gluantes de bave tiède patinaient alors que la salive ruisselaient
sur leurs mentons. Germaine étaient folle de joie en embrassant à pleine bouche
cette adorable salope. Elle sentait le pubis poilu de la gamine qui venait se
coller au sien alors qu’elle pelotait son petit cul merveilleusement rebondi.
- Putain c'est trop bon de te sentir comme ça, salope tu me fais
tellement mouiller!
- Hum toi aussi tu me fais mouiller mamie, j’aime comme tu me pelotes le
cul ! Germaine leva son bras et Nadine vient enfouir son visage sous cette
aisselle. Comme elle aimait les odeurs acres et fortes qui exhalaient de ces
poils humides. Elle sentait les doigts de sa grand-mère qui glissaient dans sa
moule, qui lissaient sa raie alors qu’elle se repaissait des saveurs musquées
qui lui étaient offertes. Elle savoura longuement ces caresses avant de se
décider à se mettre à califourchon au dessus de la vielle perverse. Elle pousse
un cri de joie en sentant les premiers coups de langue sur son abricot et elle
enfouie sa tête entre les grosses cuisses écartées. Oh comme c’était bon ces
odeurs ! Comme c’était bon cette chatte visqueuse, dégoulinante de foutre et de
mouille ! Leur degré d’excitation était tel qu’elles ne tardèrent pas à être
submergées par la même vague de plaisir. Elles furent comme foudroyées par la
v******e de l’orgasme et elles mirent longtemps avant de retrouver leurs
souffles, leur calme, dans la douce langueur qui suivit ce merve illeux moment
de folie.




Chapitre 3 : dans la chambre de Julien


- Tu sais ce que ta grand-mère est allé faire ? Julien est affalé dans le lit
contre les coussins, son petit-fils dans les bras. À peine réveillé, encore
fatigué de sa nuit riche en jeu amoureux avec ses grands-parents, ayant éjaculé
grâce à la vigueur que lui permets son très jeune âge un bon nombre de fois,
Hervé leva les yeux vers son grand-père.
- Elle est allé réveiller ma petite sœur, non ? fit-il réprimant un bâillement.
Julien caressait amoureusement le torse de l'adolescent.
- Je crois que ta cochonne de grand-mère est allée la réveiller à sa façon…
Hervé comprenant le message de son grand-père eut un petit sourire. Sa nuit
amoureuse lui revint en mémoire et sa verge déjà en forme commença à se
dérouler.
- Tu as aimé cette nuit ?
- Oh oui papy ! Je… C'était bon !
- Petit cochon, c'est bon de juter, hein ? !… La main de Julien parcourait tout
le buste de l'enfant, s'arrêtant sur le bout des seins pour en titiller les
petits bouts durcit.
- J'ai encore le goût de ta jute dans la bouche !… Dis-moi, tu te branle
souvent ? Le gamin tout à ses frissons lui répond que « oui » souvent.
- Et tu pense à ta grand-mère en t'astiquant ? A son gros cul et ses grosses
mamelles ? Il répond que oui, que ca l'excite tellement d'imaginer sa
grand-mère à quatre pattes en train de se faire lécher la raie par Nadine.
- Petit salaud, tu sais que tu commences à m'exciter, regarde ma bite comme
elle est gonflée ! Touche-moi mon amour… Le gamin très excité lui aussi prend
la grosse queue de son grand-père et commence à le branler
- Comme je t'aime mon petit… tu sais je n'ai pas eu beaucoup d'expérience avec
des garçons, mais cette nuit tu m'as tellement fais jouir ! Je crois que je
t'aime comme une femme… Embrasse-moi… Hervé tend son beau visage vers son
grand-père.
- Fourre moi ta langue dans la bouche mon amour… Comme des amoureux, les deux
langues se réunissent dans un baiser profond. De la salive coule des lèvres
soudées. Julien suce la langue fraîche tout en branlant la jeune verge dressée
comme un mât. Il s'arrête un instant pour lui dire qu'il l'aime. Que c'est sa
petite salope. Que son corps d'ado le fait triquer comme un fou. La main du
grand-père s'aventure entre les belles fesses musclées. Un doigt tendu se
faufile dans la raie du gamin pour chatouiller la rondelle masculine. Puis le
doigt s'enfonce et le gamin ronronne dans la bouche de Julien.
- Tu aimes que je t'encule mon chéri ?
- Oui papi, ça fait tout drôle mais c'est bon !…
- Fais-le-moi aussi. Le gamin s'exécute la main tremblante. Julien se soulève
pour permettre à la jeune main de se faufiler.
- Enfonce ton doigt ! Met le dans mon cul !… Oui… Ah ma salope, c'est tellement
bon de s'enculer !… Les bites branlées sont prêtes à gicler. Julien sent la
queue d'Hervé vibrer entre ses doigts.
- Attends mon chéri, j'ai une meilleure idée pour juter… Tu as déjà enculé un
garçon ? Le gamin fait juste non en secouant la tête. Il semble apeuré.
- Tu vas voir comme c'est bon de gicler entre des fesses!… Je languis de sentir
tes jets m'inonder l'intérieur. Puis le grand-père s'installe à quatre pattes
sur le lit.
- Tu vas me lécher d'abord mon amour… Ta bite glissera bien mieux !… Il
frissonne quand il sent la jeune langue s'introduire entre ses fesses.
- Tête mon cul petite salope… OH OUI !… Ta langue dans mon cul !… Comme c'est
bon… Sort la et rentre la… Oui comme ça ! Oh Putain ! Comme tu me fais du bien
! Maintenant rentre moi ta bite!

Dans un état second, le petit se met à genoux contre Julien. Julien tend sa
main droite en arrière pour positionner la verge raide contre sa rondelle.
- Fourre-moi mon chéri, pousse !… Rentre-moi ta bite dans mon cul !… Branle-moi
par devant, on va gicler ensemble… Une main sous son grand-père, Hervé, très
excité par l'ambiance érotique et sur le point de juter dans cet endroit
bouillant et très serré, donne des coups de bassin anarchique tout en astiquant
par dessous la grosse bite veineuse de l'adulte.
- Vas-y mon petit… Jute moi dans le cul… Moi je vais venir aussi… AH ! AH OUI…
JE GICLE !… JE SENS TA JUTE… JE SENS TES GICLEES… Tout à leur affaire, ils
n'ont pas entendu que sa sœur et sa grand-mère étaient dans la pièce.


Auteur michele breton

Published by dogstorpe
9 years ago
Comments
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D'accord avec toi ...
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trop bon non ? hummmmmmmmmmmmmmmmmmmm
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wouhaoooooooooo j'ai adoré, ma main aussi....
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Excellent récit...très bandant.
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Je suis venu juste a lire cette belle histoire 
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lilo2654
Bien écrit et terriblement bandant... Merci
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quel délcieux conte, c'est terriblement excitant, merci, j'adore ce genre, c'est tellement bon
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hummm terriblement excitant, j'adore!!!!
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dogstorpe
Oui chapitre 4 5 et 6 a venir des que j'ai le temps
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Tu as d'autres histoires de ce "genre"? Même auteur? J'adore !!!
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Bien "hard", comme j'aime !
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